“Book Descriptions: On se retrouve dans La liste de mes jointures comme dans une maison à l’étroit : la sonnette brisée, les vêtements trop petits, les mains qui peinent à redresser les murs. Au fil du quotidien et des obsessions, Évelyne Ménard nous convie dans « un corps qui connaît tous les miroirs ». De l’enfance à l’âge adulte, les poèmes recensent les insultes reçues, bruits parasitaires qui restent tels des acouphènes. Chaque pièce de l’appartement est liée à une partie de l’anatomie, meublée par la faim, le regard des autres, la filiation.” DRIVE